Sommaire
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L’art comme transaction
Automne 2011
Le dossier L'art comme transaction s’intéresse aux « transactions » implicites de l’esthétique relationnelle en considérant comment certaines œuvres s’inscrivent dans la logique marchande, en réfléchissant sur l’éthique de ces pratiques et sur les risques d’instrumentalisation du participant ou encore en analysant des œuvres qui reprennent volontairement les différents modèles financiers, soit pour les parodier, soit pour les mettre à profit.
Éditorial
Dossier
Connexions implicites : Les mots magiques des années 1990
Les labours (labors) de l’art relationnel
Porteurs d’images et de légendes : Les intercesseurs filmiques de Mohamed Bourouissa
Quand la foi déplace des montagnes :
l’éthique et l’art relationnel
Participation à vendre !
La valeur sentimentale de l’art
Hors-Dossier
Chroniques
Comptes rendus
Jeunes critiques
Numéro en cours
Abstractions
Printemps été 2025
Qu’est-ce qui fait, ou ne fait pas, l’abstraction aujourd’hui ? Longtemps confinée à des impératifs formalistes et auto-référentiels, l’abstraction s’est progressivement libérée du joug du modernisme pour retrouver sa puissance évocatrice. Ce dossier propose de se détourner du dogme de l’Abstraction en tant que genre historique pour considérer ses différentes avenues plastiques et sémantiques. Dans cette invitation à entrer dans les abstractions, nous proposons de rétablir le dialogue entre le contenu et la forme, entre le politique et le poétique, pour nous entretenir avec des œuvres qui évoquent la réalité autrement. Qu’on les identifie comme abstraites, non figuratives ou non objectives, ces œuvres nous racontent bel et bien une histoire.