Sommaire

73

L’art comme transaction

Automne 2011

Le dossier L'art comme transaction s’intéresse aux « transactions » implicites de l’esthétique relationnelle en considérant comment certaines œuvres s’inscrivent dans la logique marchande, en réfléchissant sur l’éthique de ces pratiques et sur les risques d’instrumentalisation du participant ou encore en analysant des œuvres qui reprennent volontairement les différents modèles financiers, soit pour les parodier, soit pour les mettre à profit.

Éditorial

Dossier

Hors-Dossier

Chroniques

Comptes rendus

Jeunes critiques

Numéro en cours

Abstractions

Printemps été 2025

Qu’est-ce qui fait, ou ne fait pas, l’abstraction aujourd’hui ? Longtemps confinée à des impératifs formalistes et auto-référentiels, l’abstraction s’est progressivement libérée du joug du modernisme pour retrouver sa puissance évocatrice. Ce dossier propose de se détourner du dogme de l’Abstraction en tant que genre historique pour considérer ses différentes avenues plastiques et sémantiques. Dans cette invitation à entrer dans les abstractions, nous proposons de rétablir le dialogue entre le contenu et la forme, entre le politique et le poétique, pour nous entretenir avec des œuvres qui évoquent la réalité autrement. Qu’on les identifie comme abstraites, non figuratives ou non objectives, ces œuvres nous racontent bel et bien une histoire.

Commander