
La question de la conscience des plantes dans l’art contemporain
Avec ces enjeux en tête, je voudrais profiter des pages qui suivent pour envisager, bien que brièvement, ce que la conscience des plantes, une fois admise, peut appeler comme éthique du consentement en regard de l’utilisation que nous en faisons en art, qu’elles soient vivantes, mortes ou figurées. En quoi une telle éthique pourrait-elle consister ? L’art peut-il devenir un champ d’exploration fécond des possibilités de coexistence interspécifique en remettant en cause notre vision anthropocentrique et notre relation aux plantes ?
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