Anahita-Norouzi-All-Our-Relations
Anahita NorouziAll Our Relations, 2021-2022.
Photo : permission de l’artiste

Il y a une quinzaine d’années, Anahita Norouzi a mis sur pied un chantier de travail multidisciplinaire ayant pour thématique la notion d’identité. À l’intersection de l’archéologie, de l’histoire et des enjeux liés à la migration, l’artiste irano-canadienne puise dans son parcours de migrante les bases d’une réflexion posthumaniste que l’on pourrait nommer le devenir-autre. Elle dévoile la nature résiliente de l’identité en mettant en lumière de nouvelles configurations sociomatérielles et affectives d’objets, de plantes et de lieux spoliés par les violences coloniales.

Cet article est réservé aux visiteur·euses avec un abonnement Numérique ou Premium valide.

Abonnez-vous ou connectez-vous à Esse pour lire la rubrique complète !

S’abonner
Se connecter
108-Esse-Resilience
Cet article parait également dans le numéro 108 - Résilience
Découvrir

Suggestions de lecture