Sommaire
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Amérindie
Printemps / été 2002
La question amérindienne demeure un « problème » réel, non résolu, bien que les Amérindiens n’en peuvent plus d’entendre parler d’eux de cette façon. On constate tout de même, à la lecture du dossier, que la plupart des artistes mettent eux-mêmes beaucoup d’emphase sur leurs conditions de vie, leur passé, etc. – Œuvres à charges dénonciatrices pour la plupart.
Éditorial
Dossier
Les ruses de Corbeau/Coyote/Carcajou
Le souffle des grands Totems
Starlight Tours : Coyote a-t-il perdu la tête dans les prairies ?
IT TAKES TIME au Woodland Cultural Centre
Les tourbillons de l’art amérindien au Québec
L’apartheid muséal : une piste piégée
Art/Nature : L’été d’art de tous les jardins
Oralités interdisciplinaires de Copper Thunderbird et du Cabaret de la Grande Tortue
Le retour de l’Ours-Tortue
Des signaux d’audace en provenance des peuplades du Grand Nord
Conclusion
Nations amérindiennes | Une compréhension en mouvance
Le mal culturel
Ironie et pessimisme dans l’art de Ron Noganosh
Numéro en cours
Abstractions
Printemps été 2025
Qu’est-ce qui fait, ou ne fait pas, l’abstraction aujourd’hui ? Longtemps confinée à des impératifs formalistes et auto-référentiels, l’abstraction s’est progressivement libérée du joug du modernisme pour retrouver sa puissance évocatrice. Ce dossier propose de se détourner du dogme de l’Abstraction en tant que genre historique pour considérer ses différentes avenues plastiques et sémantiques. Dans cette invitation à entrer dans les abstractions, nous proposons de rétablir le dialogue entre le contenu et la forme, entre le politique et le poétique, pour nous entretenir avec des œuvres qui évoquent la réalité autrement. Qu’on les identifie comme abstraites, non figuratives ou non objectives, ces œuvres nous racontent bel et bien une histoire.