De l’art critique à l’art de réconciliation : cohabiter avec les animaux non humains
Si l’art a collaboré à la formation et à la sédimentation de la conception naturaliste du monde, il a également le pouvoir de la défaire en participant à l’invention de relations viables au vivant. Mais quels chemins emprunter pour substituer au rapport naturaliste des liens plus sains, plus riches, plus intenses avec les non-humains ? Par quelles modalités et sous quelles conditions l’art est-il le plus à même de produire des effets de transformation durables en ce qui concerne nos relations avec les autres êtres vivants et le reste du monde ? C’est dans cette perspective que nous nous pencherons ici sur le travail de l’artiste contemporain étatsunien Fritz Haeg.
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