La Biennale d’art contemporain autochtone
Culture Shift – Une révolution culturelle

Anne-Marie Dubois
BACA, Montréal, du 30 avril au 26 juin 2016
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Amy Malbeuf Glitter Sacs, 2009, vue d’installation, Art Mûr, Montréal, 2016.
Photo : Mike Patten
BACA, Montréal, du 30 avril au 26 juin 2016

Sous le thème de la révolution, la troisième édition de la Biennale d’art contemporain autochtone (BACA) regroupait en quatre espaces – soit la Guilde canadienne des métiers d’art, le musée Stewart-Hall, le musée McCord et la galerie Art Mûr – plus de 50 artistes. Après s’être penchée sur les notions de territoire et d’oralité, la BACA s’est voulue au diapason des pratiques actuelles autochtones, cherchant moins à atteindre une cohésion thématique ou formelle qu’à exhiber la pluralité des approches. Sous le commissariat de l’artiste d’ascendance cri Mike Patten, la BACA entendait ainsi décloisonner l’approche anthropologique souvent réservée aux pratiques d’art autochtone en proposant des œuvres portant sur l’écologie, l’identité sexuelle ou le postcolonialisme.

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Cet article parait également dans le numéro 88 - Paysage
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