« Mais cette relative immatérialité de l’art des années 90 (qui est d’ailleurs plus le signe de la priorité que ces artistes accordent au temps par rapport à l’espace qu’une volonté de ne pas produire d’objets), n’est motivée ni pas un militantisme esthétique, ni par un refus maniériste de créer des objets. Ils exposent et explorent le processus qui conduit aux objets, au sens. »

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Cet article parait également dans le numéro 43 - Immatérialités
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