La famille multiespèce
Le commentaire de Harberts, avec son sexisme et son spécisme bienveillants, est un indicateur du changement qu’on voyait s’opérer dans la vie familiale aux États-Unis – changement qui, espérait-il, assurerait la viabilité de son entreprise. Comme le montre de manière plus générale le documentaire de Morris, le cimetière pour animaux est un bon point de départ pour réfléchir à l’apport des animaux de compagnie dans les structures humanisées de la parentalité et du lien conjugal aux 20e et 21e siècles.
Cet article est réservé aux visiteur·euses avec un abonnement Numérique ou Premium valide.
Abonnez-vous ou connectez-vous à Esse pour lire la rubrique complète !
S’abonnerSe connecter