Jean-Michel Leclerc, La survivance, l’intelligible et l’éphémère dans la matérialité : Les Sessions de la Paix

Laurence Garneau
Centre CLARK, Montréal
Du 15 janvier au 21 février 2015
Jean-Michel Leclerc, Les Sessions de la Paix, vue d'exposition, Centre CLARK, Montréal, 2015.
Photo : Paul Litherland, permission de l'artiste

Pour son exposition solo Les Sessions de la Paix, présentée au Centre CLARK l’hiver dernier, Jean-Michel Leclerc s’est engagé dans un combat contre l’invisible en employant les richesses de la matière. C’est en dépoussiérant de vieux documents, la plupart issus de fonds d’archives montréalais, que Leclerc, au nom des victimes de l’inquisition de La Cour des Sessions de la Paix (Québec, 1764-19881 1 -

Cet article parait également dans le numéro 85 - Prendre position
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