Jean-Sébastien Denis Extensions, décalages et propos ambigus sur la plasticité

Photo : Guy L’Heureux
Les constructions graphiques et « additives » de Jean-Sébastien Denis explorent sur papier Mylar une certaine matérialité de la peinture. Les abstractions géométriques et le geste dépersonnalisé permettent en effet à la matière picturale d’exprimer son potentiel sculptural. Appuyées sur un mariage de techniques confondant, les compositions épurées donnent lieu à des contrastes forts. Les chevauchements de méthodes et de matières génèrent en réalité d’étonnants effets de bas-relief insufflant aux traits anonymes une sensualité atypique.
Cet article est réservé aux visiteur·euse·s connecté·e·s
Créez-vous un compte gratuit pour lire la rubrique complète !
Se créer un compte