Recadrer l’abstraction : perspectives décoloniales

Cette table ronde aborde l’épineuse question de l’abstraction décoloniale, interrogeant le mariage problématique et/ou productif de ces termes apparemment opposés. Est-il possible de déloger l’abstraction de ses racines modernistes et occidentalocentriques? La recrudescence de l’abstraction dans les pratiques artistiques actuelles – parfois déployée à partir d’une position politiquement engagée – permet-elle d’approcher l’abstraction à travers un prisme décolonial ou l’invocation de la décolonialité pour penser ce regain d’intérêt est-elle plutôt symptomatique de la persistance du colonialisme?
Animation : Vanessa Mackenzie Parent, chargée de cours à l’Université Concordia
Panélistes : Hannah Claus, artiste et cofondatrice de daphne, centre d’artistes autochtone autogéré ; Clovis-Alexandre Desvarieux, artiste ; Alexis Janssen, historien de l’art
Nous remercions chaleureusement la Foire Plural ainsi que nos collaboratrices et collaborateurs.
Image de la couverture du numéro Esse 114 Abstractions.
Cet article parait également dans le numéro 114 - Abstractions
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