Gabrielle Lajoie-Bergeron
Les jeunes filles ne veulent pas d’histoire

Christine Major
Lajoie-Bergeron_Crack house
Gabrielle Lajoie-Bergeron Crack House – Malartic, 2016.
Photo : permission de l’artiste

Dans le flux continu d’images recyclées du monde, Gabrielle Lajoie-Bergeron attrape des détails avec sa brosse. Elle observe de près le relief d’une maison à l’abandon, les torsades de motifs floraux, le pelage d’animaux, des feuillages d’origine exotique ou locale. Les couleurs aux accents fauves, l’éclatement de la touche et la distorsion provoquée par l’émotion chantent un air connu interpelant directement le spectateur. Cette peinture cultive nos connaissances sensibles et suscite l’empathie pour la planète.

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Cet article parait également dans le numéro 90 - Féminismes
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