Fallon Simard
Des corps monétisés agissant dans des mondes fantomatiques

Lindsay Nixon
Simard_Calm
Fallon Simard Calm, de la série meme, 2017.
Photo : permission de l’artiste

Sad boy éblouissant guerroyant pour la justice reproductive, queer ouvertement tendre : Fallon Simard est un cas rare dans l’art autochtone. S’appropriant l’esprit vif et la culture virale des générations Y et Z, Simard produit des mèmes qui explorent allègrement les effets complexes du colonialisme sur le corps autochtone, semblant dire « oui, nous avons mal et notre incarnation est douloureuse, mais nous sommes toujours là : vivants, rieurs, résilients, pleins d’amour malgré tout ».

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Cet article parait également dans le numéro 91 - LGBT+
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