Céleste Boursier-Mougenot, rêvolutions , Pavillon Français, Biennale de Venise, mai 2015.© Photos-Laurent Lecat
Céleste Boursier-Mougenot transHumUs 1, 2015.
Photo : © Céleste Boursier-Mougenot, permission de Paula Cooper Gallery, New York

Céleste Boursier-Mougenot manie le vivant comme un instrument. Qu’il s’agisse d’arbres ou d’oiseaux, il élabore à partir de leur présence des installations subtiles qui comprennent les comportements sociaux des espèces et maximisent l’effet de présence des organismes. À Venise, pour la 56e Biennale, trois pins sylvestres ont été installés sur des plateformes motorisées propulsées par les stimulus émis par les arbres en fonction du milieu ambiant (lumière, chaleur, humidité) et traduits en ondes électriques (transHuMus, 2015). Les arbres se déplaçaient avec lenteur et produisaient aussi des sons audibles dans le pavillon, le son de la nature converti en sons électroniques.

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Cet article parait également dans le numéro 87 - Le Vivant
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